Divagation des animaux

Il est strictement interdit de laisser circuler les animaux sans qu’ils soient tenus en laisse et placés sous la surveillance immédiate de leur propriétaire ou gardien.
Les déjections canines doivent être ramassées immédiatement.

Refuge ALDPA ou Association de Longuyonnaise pour la Défense et Protection Animale.

Depuis janvier 2011 la mairie de Lexy a signé une convention avec le refuge fourrière de l’association longuyonnaise de défense et protection des animaux gérés par Monsieur Madame TESTI (ALDPA). Téléphone 03 82 39 31 71, ou 06 62 22 56 73. Elle se trouve à  Allondrelle-Lamalmaison.

Les habitants de Lexy qui ont perdu leur animal ou qui trouvent un animal errant ou blessé doivent appeler en mairie pendant les heures d’ouverture ou la personne d’astreinte en dehors de ces horaires d’ouverture. ces personnes alerteront l’ALDPA qui suivant le cas nous informera ou viendra dans les plus brefs délais récupérer l’animal perdu.

1 – Si l’animal n’est ni tatoué, ni pucé (identifié électroniquement) l’ALDPA le gardera pendant cinq (5) jours, au bout de ce délai légal, si le propriétaire n’est pas retrouvé, l’animal pourra être proposé légalement à l’adoption.

2 – Dans le cas où l’animal est identifié, le délai de garde est porté à huit (8) jours. Passée cette période de garde de l’animal et de recherche du propriétaire, l’animal sera proposé à l’adoption.

Pour rappel l’article 521-1 du code pénal : l’abandon d’un animal est passible de deux ans de prison et de 30 000 € d’amende.

Pour une cohabitation harmonieuse entre les habitants de Lexy et les animaux résidant sur le territoire de Lexy, il serait souhaitable que les propriétaires d’animaux profitent pleinement de leur animal de compagnie dans le respect du voisinage et des lieux publics : bruits, agressions, déjections (à ramasser), dégats, accidents…
Stériliser les chats est un acte citoyen, responsable et bénéfique pour leur protection.

Qu’est-ce que le chat libre ?

Depuis le vote de la loi Vasseur / Lepensec le 22/12/1998, l’appellation « chat libre » à remplacé celle de « chats errants ». Ce statut leur vaut la protection, le respect des citoyens et surtout le droit d’exister librement au sein des villes. En effet nos matous ont été déclaré d’utilité sanitaire et morale.
Vivant généralement en groupe, une hiérarchie s’installe entre eux et c’est à nous de les aider à mieux vivre en les stérilisant, en les nourrissant et en les soignant car un groupe de chat en bonne santé est utile à la ville (dératisateur…)

Chats empoisonnés : rappelons que ces faits de maltraitance sont sévèrement punis par la loi. Les peines encourues peuvent aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 7500 € d’amende.